Ecrivain : Moumni, enseignant retraité, demeurant à Zaio, Province de Nador ( Maroc )
Qu’est-ce que le divorce ? C’est la rupture légale des liens de mariage. C’est la séparation d’un couple uni
par l’amour. C’est l’interruption des relations conjugales. C’est semer la zizanie dans une famille. C’est la
répudiation, c’est la résiliation d’un contrat. Une femme renvoyée est un individu sans réputation. Une fois
révoquée, elle supporte des maux cruels, elle voit tout en noir. C’est désespérant, n’est-ce pas ? En voyant
ses enfants pleurnicher à tout le temps, sachant certainement qu’ils sont les victimes du détachement, son
cœur se serre, une crise de nerf la secoue, des larmes chaudes baignent son visage .Voilà une joie mêlée de
douleur. Ceci est vrai car le déchirement de cœur, le débordement de paroles causent la désunion. Une fois
exclue ,la pauvre femme devient illico déchue de ses droits. Pour trancher le différend, le mari doit digérer
un affront pour pouvoir se défendre devant le tribunal. C’est à cause de son comportement imposé, c’est
en agissant de sa propre autorité que la situation s’est détériorée. C’est aussi en se fourrant le doigt dans
l’œil que le sort est tombé sur lui à l’improviste. C’est une commotion électrique pour la femme et une
défaite pour l’homme. Le mari n’arrive à régler l’affaire à l’amiable que par une commutation de violence,
mais la comparaison n’est pas raison. Il faut qu’il regarde sa belle d’un œil complaisant car avec un peu de
patience, il se peut que leurs souhaits s’accomplissent. Une vraie maman, c’est celle qui blague, qui gronde
mais qui pardonne tout. Je pige que la communication est la clé de toute relation. Alors chaque époux doit
inventer son chemin, mais le but n’est pas tout. Ce n’est qu’un rêve avec un délai. A quoi sert de chipoter ?
de se quereller pour des riens ? Sache monsieur le mari que c’est la bonne femme qui fait le bon mari. Ton
traitement agressif n’entraine que de graves problèmes ardus. La vie est un torrent d’éternelles disgrâces.
Le vrai est trop simple, il faut y arriver toujours par le compliqué. Quand les haines ont éclaté, toutes les
réconciliations sont fausses. Le cœur d’une mère est un abime au fond duquel se trouve un pardon. Il ne
faut pas le briser. La femme est le trésor de l’homme. C’est elle qui guide ses enfants dans la vie. Sans elle,
nous serions des hommes perdus dans ce large monde. Elle a pour nous un amour infini qui va demeurer
un temps indéfini. Quand on se fait entendre, on parle toujours bien. Alors c’est le mari qui fait perde le
deuil à la femme et non la femme au mari. On dit que ceux qui se marient par amour ont de bonnes nuits et
de mauvais jours. Une femme sans mari, c’est un jardin sans haie. Donc le mariage, c’est l’état, ou le trône
de la femme. Pour l’émanciper, il faudrait avant tout lui enseigner l’usage de la liberté car son espoir est
comme un brin de paille qui brille dans l’étable. Elle s’inquiète de minutes. « Un homme qui vit seul est
souvent en mauvaise compagnie » a-t-on dit. Ceci à mon avis est vrai car l’amour est une fumée faite à la
vapeur des soupirs. La vie est un voyageur qui laisse trainer derrière lui son chapeau pour effacer ses traces
Si l’on veut voir ses rêves se réaliser, le mieux est de se réveiller. Quand les deux époux s’entendent mal, ce
sont leurs enfants qui endurent. De même lorsque deux éléphants se battent, c’est l’herbe qui souffre. Si le
chef de famille est aux cents coups, c’est une bagarre qui dégénère en rixe. Mais d’une rive à l’autre, tout
peut tellement changer. Alors le plus grand service qu’un maitre de la famille puisse rendre à ses enfants
est d’aimer leur mère. En tout cas qu’il soit pour tous un maitre à penser. C’est en étant prudent, patient
qu’on évite tout danger. Et avec du courage, on vient aussi à bout de tout. La langue d’une femme est son
arme la plus tranchante dans sa vie. Pour cela, il ne faut pas serrer la vis. On n’est jamais si bien servi que
par soi-même. Si la mémoire te sert mal, fais un effort pour pouvoir passer le cap car le temps passe et
repasse mais les souvenirs restent à leurs places. On dit : « Vilain oiseau que celui qui salit son nid » Notre
Prophète paix et salut soient sur lui a dit : « Le meilleur trésor de l’homme est la femme parfaite, s’il lui
ordonne, elle obéit, s’il la regarde, elle flatte sa vie et s’il s’absente, elle respecte son honneur » Gare à vous
- Les impulsifs sont toujours irresponsables. Quand Adam se plaignit de la solitude, ce n’est pas une
dizaine d’amies que Dieu créa pour lui mais une seule femme. Tiens-toi sur tes gardes ! Les femmes
ressemblent aux girouettes, elles se fixent quand elles se rouillent. Mais quand le cœur est bon, tout peut
se corriger car c’est l’organe le plus cruel ; c’est de lui que dépendent nos jouissances et nos souffrances.
Prends-toi pour un homme exceptionnel. Médiocre et rampant et l’on arrive à tout. Echafauder n’est pas
bâtir. L’histoire est réversible mais révisable. A quoi sert de se mordre les doigts après le divorce ? Une
fois le but est marqué, ça y est !, le match est gagné. Est-ce pour avoir licencié ta femme, c’est-à-dire pour
avoir couru après elle ou pour qu’elle ait refusé d’exécuter tes ordres ? Explique-toi, n’aie pas honte de
dire ce que tu n’as pas honte de faire ; corrige-toi avant qu’il soit trop tard, ne fais pas la sourde oreille.
C’est le désordre et la détresse qui mènent à la séparation du couple. Donc il vaut mieux éviter ces sévices
sinon, le cortège se disloquera et les liens de la fréquentation disparaitront. Voilà un bain qui finira mal à
cause d’une sévère conduite. C’est la dégradation de la situation familiale. Le divorce donc est un choc, un
coup de feu. Il faut agir avec ménagement car les querelles de ménage troublent la vie et font le malheur
de tout le foyer. (On dit que la chose la plus détestable chez Dieu est le divorce.) Une fois la mère renvoyée
de son domicile conjugal, c’est une catastrophe pour les enfants, des liens rompus. Un homme divorcé est
au-dessous de tout. Il se désolidarise d’avec ses compagnons. C’est désolant ! N’est-ce pas une humiliation
On ne libère pas la femme comme un prisonnier ou un esclave. Je ne reproche rien à l’homme mais je
l’accuse de cruauté, de démence parce que je connais des femmes qui méritent d’être traitées comme des
bonnes à cause de leur mauvais comportement, oubliant que le besoin rend ingénieux, que la sagesse
sauve quiconque veut arriver à son but .Je vois que la femme est le toit ou le parasol de ses enfants qui
vivent sous ses ailes comme les poussins d’une poule. Si un jour, ils quitteront son giron, ce sera un coup
dur pour papa et un cas pendable pour maman. Comment le mari va-t-il fuir de ses responsabilités ? Faire
quelque chose en courant, c’est dérailler, c’est tomber en ruine. C’est fulminer des reproches pour rien. Il
ne faut pas déshonorer sa femme ni la dépersonnaliser. On ne doit pas la traiter comme une bête. C’est
fumant ,hein ! On ne tue pas la poule aux œufs d’or. Ne sois pas une mer en furie. Avec un regard furibond,
il est facile de la vaincre mais lui faire mauvais visage, c’est se montrer, se prendre pour un homme d’une
grande médiocrité. Méfie-toi, c’est médisant ! Essaie de faire quelque chose, de trouver un moyen qui te
permettra d’aller vers un avenir plein de bonheur et de prospérité. Partout, on ne parle que de divorce :
les tribunaux regorgent de femmes qui attendent leur tour pour qu’on leur remette leurs actes de
divorce. L’âge de la majorité civile est de vingt et un ans (21). Les rumeurs de divorce circulent comme le
sang qui circule dans les vaisseaux. Il faut mettre un terme à ce protocole avant d’engager le pied dans
l’étrier ou la clé dans la serrure car avec un cœur de marbre, on finit par courir un danger. Ne soyons pas
comme les moutons de Panurge. Les contradictions manifestent un grand désarroi. Chacun a ses petites
manies . Parlez par énigme, c’est compliquer rudement les choses car les discussions inutiles diminuent la
joie des femmes comme le poêle qui mangent trop de charbon. Une fois que la femme est en poêle, c’est
le bouillonnement de colère, c’est l’effervescence. Même si tu travailles comme un nègre, rentre chez toi
libre comme l’air. Accueille tes enfants aimablement, embrasse-les chastement même si tu t’es fâché avec
leur maman. Il ne faut pas tourner le dos à la mangeoire .C’est navrant ! Ne sois pas un homme à deux
faces. N’aie pas la tête près du bonnet. Accorde à ton conjoint toutes les facilités désirables. Avec un peu
de patience , tu parviendras à vaincre toutes les difficultés. Sois- en sûr et certain. Il faut l’aider à vivre libre
sans la blâmer, sans la gronder surtout devant ses enfants. Multiplie tes efforts. Sors-la de son labyrinthe
comme on libère un prisonnier de son cachot. Chaque temps se passe dans son temps opportun. Après le
divorce, à quoi sert de pousser des hélas, de regretter d’avoir congédié sa compagne qui était ton bras droit
qui prenait soin de tes enfants, qui faisait la cuisine, la lessive, le nettoyage, le lavage etc. Une maison où
on ne trouve plus de trace pour la femme est comme un taudis, une vieille construction désertique où pas
un bruit de pas ne se fait entendre. Personne n’y circule. Les conversations à bâtons rompus démoralisent
les sentiments et mettent du trouble dans la famille. Oui, avec la régularité d’une conduite, l’intéressé peut
rehausser son courage, reprendre son conjoint sans se faire des cheveux. Selon mon opinion, le divorce
cause beaucoup de problèmes dont on ne parvient pas à trouver de solutions. Avant de mettre la femme
dehors, il faut penser à la fin, à ce qui va se passer subséquemment. La femme n’est pas une bête qu’on
domestique, mais un être humain dont on a toute confiance. Elle n’est pas une balle qu’on rattrape ni une
émission qu’on capte. Sans elle, la maison serait sombre, les enfants deviendraient des orphelins toute la
vie durant. Pour cela, il ne faut pas se laisser aller au fil de l’eau ni avoir l’esprit opaque. Par contre, il faut
tenir les fils. Il faut penser à l’avenir de ces gamins. Comment vivront-ils ? Qui leur viendra en aide ? A qui
assume-t-on la responsabilité ? Aux parents ? Au juge ? Au gouvernement ? Comment régler le fil de ces
événements ? Il est temps d’y mettre fin. Ne laisse pas le brouillard t’arrêter dans le chemin des étoiles.
Pour ne pas compliquer les choses, il faut que le jugement soit conforme à la jurisprudence et non pas
contradictoire car au fur et à mesure que les causes profondes et les causes immédiates se propagent
comme la propagation de la lumière, la situation se compliquera. Il faut doser les compliments et les
reproches. Sinon, cela deviendra la fréquence des risques. Une forte dose d’orgueil conduit au désespoir,
à l’ennui. C’est de l’insouciance qui conduit à la ruine. C’est faire à la femme la conduite de Grenoble.
Attention ! Le défaut de la cuirasse émane aussi de la femme. La plupart des femmes ce sont leurs nocives
résolutions qui sont cause de leur malheur, de leur échec. Elles préfèrent vivre libres au lieu de passer leur
vie comme des prisonnières dans leurs domiciles. Si leurs maris font partie des hommes de confiance, ils
ne tarderont pas à fournir des efforts précieux afin de ne pas laisser leurs enfants dans la misère, ils peinent
en essayant de ne pas produire de l’intégration, de ne pas ruiner leur raisonnement. Etant donné que c’est
une rude épreuve, une malice cousue de fil blanc, car de fil en aiguille, on trouvera facilement le fil d’Arian
Passer par la filière, c’est prendre le Pirée pour un homme, c’est causer des risques ; c’est travailler sans
arrêt, d’arrache-pied, c’est ahaner à porter le faix, c’est se fatiguer à supporter un poids trop lourd, c’est
se donner beaucoup de peine pour réussir. Sinon, c’est un emprisonnement perpétuel pour les enfants.
C’est une manie de la persécution. Quel persiflage ! Ce genre d’homme court à perte d’haleine. L’énergie
est la cause efficiente de la méchanceté. L’ivresse, la stérilité aussi (des deux sexes) l’infidélité, le trouble
nerveux, l’attitude complice, l’esprit compliqué sont les éléments essentiels de la séparation des époux.
C’est l’abandon, c’est l’exil volontaire. C’est s’exhaler en menaces. A quoi sert de s’exhausser ? Une fois qu’
on est exempt de défauts, de soucis, d’erreurs, de vices, on parviendra à fournir un effort de mémoire qui
comme un vignoble produira un vin estimé. On ne peut être à la fois au four et au moulin. L’homme est un
prodige par rapport à la femme. Il est mal d’avoir le plus profond mépris pour son associée solidaire. Fais
mon vieux de sorte que tu ne passes pas par de brusques rafales .N’agis jamais dans la passion. Il n’y a pas
de roses sans épines. Chercher une épingle dans une meule de foin, c’est créer une cloison. Tout ceci reste
trouble. La vie est un chemin plein d’épines. On ne peut le traverser sans se faire percer les pieds. Cela en
vaut la peine ! Quand l’abcès est en incubation, il faut le percer. A mon avis c’est une diminution de voix
de colère, de violence et en même temps, c’est une augmentation de joie, une croissance d’amabilité, bref
le degré d’une entente agréable entre deux époux, un changement de vie, une couronne nuptiale pour eux.
On dit qu’à chaque saint sa chandelle. Est-ce que toute vérité n’est pas bonne à dire ? Je reviens en ce cas à
la dame pour lui souffler aux oreilles comme on souffle à un acteur son rôle. Chère dame : Prends ton mari
pour un militant. Ne le laisse pas souffrir le martyre surtout lorsque la colère le tient. Ne presse pas le pas.
Il faut marcher à souhait. L’accouchement ne vient jamais avant son terme. Ne lui soulève point le cœur.
Agir de cette façon le met en proie à des mouvements divers. Dieu a créée l’homme et la femme pour vivre
ensemble et pour procréer. Aidez-vous. Ne vous détestez pas. Continuez à vous aimer. Vos regards de bon
goût sont un idéal, un soulagement pour vos enfants grâce à la lumière qui perce les ténèbres .En vous
voyant mener une vie estimable, digne, ils vivront à leur aise en vous respectant beaucoup. Chère dame :
Une fois mariée, on t’appellera madame tel. Si tu es capable de mener ton époux par le bout du nez ou par
le pavillon comme on mène une bête à l’abattoir, essaie de ne pas lui barricader le passage. Laisse-lui un
espace pour le bricolage. Sinon, votre avenir et celui de vos enfants sera brisé, détruit, sans aucune trace.
Sache que tu es pour lui une perle qui brille. Obéis, autrement la séparation sera à coup sûr pour vous deux
un choc, un ébranlement. Reste pour lui une brise de montagne. (Lisez les bribes du poème suivant) :
Digne de confiance, une vraie consigne.
Traite ton mari sans tenir la bride haute. Ne reste pas plantée comme une borne. Ne te montre pas sévère à propos de bottes. On ne prend que la vache par les cornes.
Sois femme sage pour qu’il te vienne en aide. Tout ce qui brille n’est pas or. Prends-toi pour une fourmi
A quoi sert d’être sur la corde raide ? Essaie de doubler tes efforts. Et voilà la vie qui te sourit.
Ne te laisse pas engloutir par la mer. Occupe-toi de lui comme la prunelle de tes yeux. Sache que ses ondes sont très amères. Tu vivras sans nul doute comme tu l’étais avec tes vieux
Offre le calumet de la paix. Aie confiance dans ton sort. Reste toujours près de lui Change de cap s’il te plait. Pour que tu vives à pleins bords Suis-le même s’il te hait
Tu n’es pas une maison qui tombe de vieillesse. Ce n’est pas une vie. Voilà la vie éternelle
Mais une dame, honnête et de bonne race. Fais de lui le bon génie. Pour un avenir réel
La vie est comme un vaste champ qu’on sème. Dieu a préservé un sombre asile.
Elle est pleine de toutes sortes de problèmes. A toute personne ayant une âme vile
Si on ne le sarcle pas Dépêche-toi avant de sonner l’alarme.
La terre ne produira pas Il est très mal de vivre dans les larmes
Accueille ton mari avec enthousiasme Sans vous haïr, vous devez vivre liés l’un à l’autre.
Mais ne sois pas pour lui une fine lame Vos enfants ne sont pas des grains d’orge à moudre
Adresse-lui de douces paroles. Ne le réveille pas en sursaut. S’il perd la boussole.
Aimez-vous à tour de rôle. Au saut du lit, il est à bout. Ne te casse pas le bol.
Quand une poule pond. Saisis la balle au bond. Si tu es un bâtiment de fort échantillon.
Elle pousse des cris de paon. Avant d’aller au fond. Tu peux sauter l’obstacle d’un seul bond
La cause principale du divorce est la méchanceté, la violence. Tout ce qui est cru n’est pas décoratif
La voiture ne circule pas quand son réservoir est vide d’essence. Pour chaque erreur, il y a un motif
Tout mariage qui n’est pas fait selon la tradition islamique. Il ne faut pas avancer à pas de géant
Finira par se dégringoler et se briser comme une brique. Ou bien le roman fleuve perdra son bilan
La femme est pour l’homme comme un décor. Plus on aime une femme, plus elle obéit.
Il faut que son mari l’aime à la folie et l’adore. Plus on l’envie, plus elle montre de l’énergie
Le taux de divorce a augmenté automatiquement. Le mariage est une vie en société de qqn.
Il faut trouver à cette dépravation un changement. Le divorce est une division, une histoire sans fin
Interessant sujet mais c est une longue texte. Essaie de le resumer dans un temps ou.l information est ecrite en telegramme pour capturer l attention des lecteurs.
A propos du divorce . J ai apprit un proverbe d un amis. Que je trouve fascinnant en arabe
الدارحة: كاين اللي مزوج وكاين غير ما مطلقش وصافي. يعيش مرارة الزواج