Qu’est-ce que la violence ? C’est la rage, la haine, l’agressivité, l’ironie. Une femme irascible est une
créature impitoyable, jalouse, impolie, avec qui on ne peut plus s’entendre, qui a peut-être un esprit
rococo et des idées toutes différentes à celles de son mari. Elle est en général l’associée, la compagne de
l’homme. Il y a des femmes qui haïssent leurs maris pour de simples raisons. Elles veulent qu’ils vivent
sous leur autorité, les mettre à l’épreuve sans se rendre compte qu’elles commettent des tas d’erreurs
.impardonnables, qu’un jour viendra où elles regretteront d’avoir horrifié, tarabusté leurs époux qui sont
leurs acolytes, qui sacrifient toute leur vie pour les satisfaire et pour qu’elles mènent une vie joyeuse
Mais malgré les efforts que fournit l’homme afin qu’il ne tombe pas dans le guêpier, sa femme continue
à le mener par le bout du nez. Cela ne te mène à rien madame. C’est comme si on chantait. Il y a du haut
et du bas dans la vie. Ne le fais pas descendre jusqu’au bas de l’escalier.C’est du guignol. C’est la bonne
femme qui fait le bon mari. Méfie-toi. Ton mari n’est pas un chiffon de papier. Caresse-le de l’œil. Ne
laisse pas l’inquiétude empoisonner sa joie .Vous êtes tous les deux responsables de l’éducation de vos
enfants. N’assume pas la responsabilité à lui seul. Ne fais pas la mouche du coche. A quoi sert de gober
les mouches ? Ne néglige pas la fidélité conjugale. Ne sors pas sans sa permission. Ne déguise pas ses
sentiments. Parle avec l’accent de la vérité. Reste toujours de son coté. Aie pour lui des milliers
de trésors de sympathie. Tâche d’améliorer la situation avant qu’il soit trop tard, avant de regretter
d’avoir pétrifié cet homme qui sacrifie toute sa vie à cause de toi qu’il aime comme la prunelle de ses
yeux. C’est odieux ! Essaie de ne pas trahir ses espoirs. Tu n’es pas la seule qui règne. Pour courir le
moins de risques, fais de sorte que tu ne te soucies pas de lui comme d’une guigne. Multiplie tous tes
.efforts pour parvenir à assainir les liens du sang. C’est un être humain comme toi, il ne faut pas le jeter
à la poubelle. Ton conjoint est très souvent prêt à te venir en aide. Ne le prends pas pour un vaurien
Il est assidûment à ta disposition. Si tu continues à le traiter ainsi, tu vas conduire la barque vers un
océan où il se peut que tu te noies sans personne pour te sauver la vie. Le bon Dieu dit dans son livre
sacré : (Ne vous jetez pas dans la destruction de vos propres mains) De retour à la maison, il ne faut pas
,lui ouvrir la porte brusquement en lui faisant un accueil volubile et rébarbatif. Au contraire, serre-le bien
dans tes bras ; fais comme la lune qui reçoit la lumière du soleil. Si ton homme a l’esprit misanthrope
change de cap pour le modeler bien et lui faire ôter l’envie de rechigner. D’accord, la misogynie existe
encore de nos jours. Voilà pourquoi on trouve actuellement ce genre de femmes qui refusent de se
démystifier mais c’est un déni à mon avis. Cet homme qui travaille à grand ahan ne mérite pas au moins
,un beau sourire de la part de sa femme qui le regarde avec réprobation, qui cherche à ourdir des ruses
contre lui, à parsemer son chemin de toutes les formes d’embûches et d’épreuves ? De toutes façon
,l’homme dont je parle dans mon récit est ton coopérateur. Il serait erroné de penser que l’affaire est
facile. Le but de la vie humaine est la recherche du bonheur. Fais de sorte que ton mari reste chaste
éloigné de tout ce qui blesse ses oreilles. Arme-toi de patience, d’amabilité, de sagesse afin de vivre
dans le calme et dans la paix. Comporte-toi dignement. A quoi sert de te renfrogner, de froncer les
sourcils en t’adressant à ton mari sur un ton comminatoire pour une bagatelle. Débarrasse-toi de ces
furies. Un époux qui n’a ni autorité, ni pouvoir, qui ne peut souffler un mot devant sa femme se voit
vaincu, bourru. Arrête de l’humilier, de saboter ses efforts, de lui proposer des sommes mirobolantes
car il ne possède pas la fortune de Coré (caroun). Sois une femme vertueuse .Tu peux aisément apaiser
.son ire avec un baiser frais sur la commissure de tes douces lèvres ! En outre, tu dois le parer de toutes
les vertus. C’est ton serviteur probe. N’est-ce pas ? Donc, sois sur le qui-vive avant qu’il lâche les rênes
Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu’on te fasse à toi-même. Ton regard indiscret le trouble, le
perturbe. Il se sent las, déprimé, démotivé, bref démoralisé. Pour cela, ne l’accule pas dans un coin étroit
Ne le confine pas dans un lieu retiré ; ne le mets jamais à l’écart. Une fois relégué, il lèvera le camp, il se
révoltera ou il fera une éclipse, peut-être ce sera un abandon qui te conduira à une séparation à jamais
,Essaie de ne pas rétrograder. Comporte-toi bien. Ta jalousie est la cause de tous ses maux. Je connais
.pas mal de femmes qui prennent leurs maris pour des lâches, qui les invectivent, qui les enquiquinent
qui les blâment, qui les grondent devant leurs parents (pères et mères) et au vu et au su de tout le monde
Ceux-ci en se sentant foutus, dégradés laissent la querelle s’envenimer,leurs enfants se détester, s’abîmer
dans leurs réflexions sans savoir à qui se plaindre. Ils deviennent illico les victimes du débat. On dit que
lorsque deux éléphants se battent, c’est l’herbe qui souffre. C’est une réaction viscérale de colère. Cela
me fait mal de l’entendre. (Qui mal veut, mal lui tourne) (Coran) Un homme mal en femme est souvent
accablé sans motif précis. Attention ! Je ne généralise pas. Je ne dis pas que les femmes sont toutes les
mêmes, ont toutes le même comportement. Non, non et archi non ! A quoi sert donc d’avoir le cœur
serré, archiplein de ténèbres. Est-ce que ces dames n’ont-elle pas pitié de leurs enfants, ne savent-elle
pas qu’un jour elles les quitteront une fois pour toutes ? Où vont-elles avec ces hostilités, ces fourberies
qui manifestent un grand désarroi, qui sèment la zizanie entre leurs enfants ? Selon mon opinion, cela
ne vaut pas un zeste. Il faut séparer le bon grain de l’ivraie avant la chute du toit. Lorsque les parents
s’entendent bien, tout est facile à régler car la clé est dans leurs mains. Je compare la maison où il n’y a
.pas de maman à un logis délabré, à une écurie. La femme au foyer joue un rôle très important. On dit
qu’elle est l’âme de la maison. A dire vrai, c’est une communauté du sang, d’idées et de sentiments
J’ai vu il y a peu de temps sur l’écran de ma télévision une scène tragique où une femme hargneuse
chassait la maman de son mari férocement. Elle la poussait de toutes ses forces pour la ficher dehors
comme si on expulsait un étranger. La vieille lui baisait les mains, les pieds, la tête en la priant
humblement de la laisser vivre dans la maison de son fils. Mais celle-ci ne voulait plus l’écouter. Au
fur et à mesure que la pauvre maman continuait à la supplier, la méchante dame, l’air matois, le visage
,ridé, les yeux bigles ouvrit brusquement la porte et l’expédia dans la rue avec son sac en l’y laissant
,pleurer désespérément. « Fichez le camp. Allez-vous-en ! » lui dit-elle d’une voix rauque. A cet effet
les battements de mon cœur se précipitèrent, mon visage ruisselait de sueur, mes yeux se mouillaient
le sang fourmilla dans mes veines. C’était une crispation de nerfs. C’était un vilain spectacle ! Ceci
s’est passé en présence du mari qui n’avait pas pu bouger, qui n’avait pas fait un moindre geste pour
empêcher sa femme de faire déguerpir sa mère. C’était un film magique, inouï. La femme acariâtre
ferma rapidement la porte et serra fort son amant dans ses bras en l’embrassant sans cesse, en remerciant
!Dieu pour l’avoir sauvée des griffes de Satan, c’est-à-dire de la vieille femme qui était pour elle comme
la pierre de conservation, sans vergogne, sans craindre le châtiment de son Seigneur. Quelle barbarie
!Ce qui m’avait profondément touché, c’était ce bougre d’idiot qui n’avait pas eu pitié de sa mère, qui
n’avait pas pu intervenir pour au moins l’abriter jusqu’au lever du jour. Quel traitement inhumain
C’était horrible ! J’avais le cœur brisé devant cette scène affreuse, devant ce sale con qui regardait sa
femme malmener sa mère qui ne savait à quel Saint se vouer. J’avais la chair de poule, mon cœur
fondait, mes tempes bourdonnaient en regardant cette femme malotrue traiter sévèrement sa maman qui
l’avait nourri de son propre sein, qui avait veillé sur lui de longues nuits, qui avait pris soin de lui en cas
d’un besoin, d’un mal, qui avait consacré toute sa vie à l’éduquer, à le former, à faire de lui quelqu’un
qu’il n’était pas. C’était la mort dans l’âme ! Si cette femme rancunière était près de moi, je l’aurais
condamnée à boire la ciguë comme on avait fait de Socrate. L’homme qui travaille avec peine toute la
sainte journée, qui gagne son pain à la sueur de son front afin de parvenir aux besoin de ses enfants ne
mérite pas qu’on se fasse du souci pour lui. Mais malgré tous ces efforts que déploie le père, sa femme
ne cesse de le mépriser, de le dédaigner, de le dépersonnaliser, en lui crachant au nez. N’est-ce pas un
manque de politesse ? Un affront ? Honte à qui y voit du mal ! Où vas-tu ? Sache chère dame que ton
mari est ton soutien, ton bras droit, ton défenseur, ton protecteur. En l’aimant follement, tu garanties un
bon avenir à tes enfants, en le mésestimant, tu le leur détruis entièrement. Voilà le conseil que je te
donne. La démence peut te conduire à la ruine, au désespoir. Une parfaite maman vaut ce qu’or vaut
mais le père reste toujours le fondateur, le chef de la maison. Sans lui, la situation familiale se détériora
les relations sociales s’abîmeront. Ne dis pas de vilenies. Ne fais pas la sainte nitouche. Sois du nombre
des orantes. Ne laisse pas ta haine se répandre comme une traînée de poudre, ni ton esprit voguer dans
les voies célestes. Ce ne sont que les limes de la pensée humaine ! Ne sois pas au paroxysme de la colère
Ne fais pas rage contre ton bien-aimé. A quoi sert de le mater, de mettre tous ses œufs dans le même
panier, de mettre ses sentiments en doute ? Il est ton unique compagnon. Il ne peut être à la fois au four
et au moulin. Pourquoi cet air narquois? Ce n’est pas un homme à la mie du pain, mais un type de la
première catégorie que tu dois considérer beaucoup. On m’avait parlé d’une farouche femme qui avait
roué de coups sa bru, la femme de son fils, en la mordant comme une bête enragée, en vociférant des
injures. On m’avait dit que c’était une querelle violente, accompagnée de coups de bâton, de fouet et
de claques retentissantes qui avait dégénéré en rixe. La jeune mariée criait à se scier la gorge malgré
sa piètre santé. La scène s’était passée devant son mari qui n’avait rien fait. Il regardait sa jeune frêle
épouse tout inondée de sang, le visage écorché et enflé,avec quelques bosses, les cheveux ébouriffés,
les vêtements dépenaillés, la tête pleine de blessures dont elle souffrait atrocement. Battue comme une
.chienne, celle-ci sanglotait, essuyait ses larmes et alla se calfeutrer dans un coin de la maison, entourée
de ses petits qui l’admiraient en pleurnichant et en tremblant en même temps comme de petits oiseaux
C’était du beau tapage. Tous les voisins en étaient au courant. Quelle ignorance complète ! Cette cruelle
femme avait bouillonné de colère et agi comme une héroïne. Si j’étais à la place de ce vil mari, j’aurais
dévoré sa mère devant lui comme une flamme qui dévore le bois car sa femme était innocente. Elle ne
méritait pas d’être tyrannisée pour n’avoir fait de mal à personne, même pas à une mouche. Mais la
coupable était cette vieille criminelle qui avait fait son entraînement sans craindre le bon Dieu. Quand
j’ai rencontré cette jeune dame, j’avais les nerfs en boule, je ne l’avais pas reconnue du tout. Elle me
parlait à tort et à travers. On dirait un balbutiement infantile .Comme d’habitude elle me salua avec un
sourire blême, un air monotone. Quand j’avais demandé de ses nouvelles, on m’avait dit qu’elle était
battue sauvagement par une coquine qui ne craignait ni Dieu, ni Diable. A ces mots, une forte secousse
terrible m’ébranla, j’étais sur le point de m’écrouler. Mon corps était en feu, mon étonnement se mit
à croître, à se développer et à planer dans mon cœur. Je vous le jure chers lecteurs (es- vices) que c’était
.le pire des maux. Hélas ! Tout s’était passé comme si de rien n’était. Si j’avais le pouvoir, la canaille
aurait écopé d’une année de prison pour avoir puni la femme de son fils impitoyablement, injustement
,On dit : « Qui sème le vent, récolte la tempête » la violence des femmes est plus grave que celle des
.hommes. On dit que si un homme te prend dans ton collimateur, n’aie peur de rien, si c’est une femme
tiens-toi sur tes gardes ! Elle peut te faire du tort quand elle le peut et quand elle le veut. J’en suis sûr
:Tradition du Prophète, paix et salut soient sur lui : « Le paradis de la femme est dans l’obéissance de
son mari. » chère dame
Ne prends pas le Pirée pour un homme
Ton mari n’est pas une bête de somme
Il faut fournir un grand effort
Ne prends pas aux dents le mors
Rends-le vaillant, illustre et prudent
Comme le trident qui rafraîchit les dents
Pour mener une vie confortable
Il faut régler l’affaire à l’amiable
Conduis-le vers un avenir inaltérable
Aie pour lui des sentiments honorables
Veille sur lui quand il dort
Si tu veux qu’il t’adore
Tu es son trésor
Offre- lui ton corps tu es son or, son éternelle aurore
Tu es pour lui un fidèle rapport
Aie confiance dans son sort
Fais de lui un homme très fort
Ouvre-lui ton cœur
Sans mépris, sans fureur
Tradition du Prophète : « Si la prosternation était pour un autre que Dieu, j’aurais ordonné la femme
de s’incliner devant son mari en signe de respect »
Sujet inventé par Moumni, ancien enseignant, demeurant à Zaio, Province de Nador (Maroc)
ياريت لو حفظ القرآن وتفسيره وتفرغ لعلم الحديث هذا الذي سينفعه في الدنيا والآخرة. .أما هذه القصص والتراهات فهي لا تسمن ولا تغني من جوع بل قد تكون وبالا عليه يوم القيامة. ..
نسأل الله العافية